
La Boîte à outils
Le numérique
comment
ça marche?
Les fiches : comment ça marche ?
La Tool Box eLo se compose de fiches qui recensent des pratiques vertueuses dans les principaux domaines d’activité des institutions culturelles du territoire. Ce sont des outils pratiques qui sont censés vous aider à faire des choix très pratiques…
Elles peuvent être parcourues juste via les grands titres (si ça vous suffit) ou analysées dans les moindres détails (en cliquant sur les triangles).
Pour chaque pratique suggérée, quatre options s’offrent à vous : “déjà fait”, “à faire”, “reporté” ou “pas pour nous”. Il est conseillé d’échanger avec vos collègues et surtout avec votre direction pour vous accorder sur les actions à mettre en œuvre.
Une fois vos choix effectués, vous pouvez générer un PDF personnalisé. Après avoir rempli quelques informations complémentaires, vous obtiendrez un mémo pratique à afficher dans votre bureau, la cuisine ou les couloirs… Ce mémo contiendra uniquement les actions que vous aurez tagué “A faire” (donc celles que vous souhaitez entreprendre à court terme).
Le bouton pour générer le PDF se trouve à la fin des actions possibles.
Des fiches seront ajoutées au fil du temps cette année…
On peut penser que la dématérialisation permise par le numérique est plutôt bonne pour la planète. Mais c’est sans compter l’énergie nécessaire pour fabriquer les terminaux (téléphones, ordinateurs…), qui représente entre 60 et 80% de l’empreinte carbone du numérique selon les sources et l’énergie pour faire fonctionner les serveurs (sur lesquels on stocke toujours plus de données). Le numérique représente ainsi entre 3 et 4% des émissions de GES dans le monde.
Par ailleurs, la fabrication du matériel et le stockage des données sur les serveurs nécessitent une grande quantité de combustibles fossiles, de produits chimiques, de matériaux rares et aussi d’eau. Le numérique contribue donc à l’appropriation des ressources, au réchauffement des eaux et du climat et donc au bouleversement des écosystèmes aquatiques et terrestres.
Et puis, avec des nouvelles technologies comme la 5G, l’IA et le metavers, l’empreinte du numérique augmente et augmentera encore de manière significative dans les années à venir. Rien que les émissions de GES du secteur pourraient augmenter de 45% d’ici 2030.
En bref : ce n’est pas parce que c’est numérique, que c’est forcément plus « écologique » (… et inversement d’ailleurs) !
Ce qui est donc le plus impactant, c’est la fabrication des ordinateurs et téléphones et la gestion de leur fin de vie (si elle est mauvaise). À elle seule, la fabrication d’un ordinateur nécessite pas moins de 240 kg de combustibles fossiles, 22 kg de produits chimiques et 1,5 tonnes d’eau ! La fabrication d’un ordinateur neuf générerait en moyenne 183 kg CO2e. Pour arriver à la même production de GES, il faudrait envoyer 1 699 286 mails, soit l’équivalent de 326 ans d’emails avec une moyenne de 100 par semaine.
Il faut donc garder ces ordres de grandeur en tête :
- c’est l’achat de matériel neuf qu’il faut éviter le plus possible
- et en second lieu, réduire certains usages.
Les grands axes de travail de la communication sont :
- Faire un état des lieux de vos usages numériques et en fonction :
- Mettre en place un plan d’actions avec les équipes, suivant des objectifs clairs. La sobriété dans l’achet et l’utilisation du matériel, la sobriété dans les pratiques, l’utilisation de logiciels libres… ;
- Communiquer sur vos engagements ;
- Évaluer la pertinence des actions régulièrement.
- Vous avez jusqu’à 2050 pour atteindre le « zéro émission » (soit environ 80% de baisse de vos émissions de GES). Vos objectifs doivent être progressifs et gérables : ni trop modestes, ni trop ambitieux.
- L’émission de GES n’est pas le seul problème de la communication : elle peut aussi avoir un effet sur la pollution, l’artificialisation des sols, la disparition de la biodiversité…
- Ce que vous perdez en temps de réflexion au début, vous le gagnez en efficacité et bien souvent en budget par la suite
Les leviers d’actions possibles
Avant la moindre action, vous pouvez commencer par faire un petit état des lieux du numérique dans votre institution et développer une stratégie pour baisser son impact environnemental. Ça prend un peu de temps. Mais c’est une étape indispensable pour choisir des actions adaptées et efficaces pour la suite. Et puis, c’est un moment d’échanges très utile dans une équipe.
Pour faire cet état des lieux, vous pouvez :
Évaluer d’abord ce que vous faites actuellement
: quels sont vos outils numériques (nombre de machines par utilisateur·rices, nombre d’heures d’usage réel, coûts d’achat et de maintenance…) ? Quelles sont vos pratiques numériques (logiciels utilisés, nombre de mails sur une période…) ? Quels sont vos achats ? (Voir grille d’évaluation dans la Boite à Outils de Dédé)
Élaborer une stratégie
, avec des objectifs éco-responsables (qui visent par exemple, 5% d’émissions de GES du numérique en moins, tous les ans, pendant 5 ans). La budgétiser et la discuter avec les équipes pour être sûr·e que tout le monde adhère au projet. Valoriser autant les surcoûts nécessaires que les économies prévues.
Interroger sérieusement, avec l’équipe, l’intérêt de recourir à certaines technologies numériques
comme le Metavers, le 4K et le 8K, la diffusion UHD, le cloud gaming, le recours à l’intelligence artificielle… Pour cela, vous pouvez vous interroger sur l’apport réel de ces technologies par rapport avec les objectifs de communication / de médiation et en rapport avec vos objectifs écoresponsables, en déterminant des indicateurs de réussite.
Dans l’ensemble du cycle de vie d’un matériel informatique, la phase de fabrication est celle qui a le plus d’impact environnemental. Il est donc important de réduire au maximum le renouvellement des matériels. Pour cela, vous pouvez :
Prioriser la location de votre parc informatique.
Allonger au maximum la durée de vie des équipements numériques
en les protégeant et en en prenant soin. Vous pouvez même entamer un concours du plus vieil ordi au sein de l’équipe et fabriquer des jolies vignettes indiquant la date de fabrication dessus !
Mettre votre ordinateur en mode économie d’énergie pour toutes les tâches peu gourmandes en ressources.
Mettre en veille votre ordinateur au bout de 3 minutes sans utilisation (il y a des raccourcis clavier très simples pour cela) et l’éteindre lors d’une pause prolongée.
Baisser la luminosité de votre écran.
Débrancher tous les ordinateurs et téléphones que vous n’utilisez pas
, avant de partir en week-end par exemple : ce n’est pas en les mettant en veille ou en appuyant sur off qu’ils s’arrêtent de fonctionner.
Après quelques années, revendre vos appareils à une société de reconditionnement pour leur offrir une seconde vie.
Quand un achat est nécessaire, vous pouvez utiliser la méthode BISOU (voir dans la boite à outils, sur cette page) et vous intéresser à « l’indice de réparabilité » ou à « l’indice de durabilité » selon le pays, mais aussi aux appareils reconditionnés, évolutifs ou modulaires, et éco-labellisés.
S’assurer de la traçabilité sociale et écologique du matériel que vous achetez.
Identifier des partenaires de recyclage pour le matériel en fin de vie
(voir les échanges d’expériences pour identifier des partenaires dans le territoire).
Les vidéos utilisent 80% des données du web. Il s’agit d’en regarder et partager moins :
- Arrêter le doom scrolling en désactivant la lecture automatique des vidéos dans les paramètres des réseaux sociaux.
- Ne pas opter pour la lecture automatique des vidéos que vous mettez si votre site.
- Vider son cloud de toutes les vidéos et photos inutiles.
On peut aussi prêter attention à la manière dont on les regarde :
- Si Youtube fonctionne avec 56% d’énergie renouvelable, Netflix, Amazon prime, HBO et Hulu sont les mauvais élèves. Netflix, qui occupe à lui seul 13% de la bande passante internet, est alimenté à 30% au charbon. 1 an de streaming (7h de streaming par semaine, 364 heures en tout), c’est environ 11,5 kg CO2e.
- Si on en regarde, on baisse la résolution et on regarde en wifi.
- Ne pas regarder la télévision via internet.
Les réseaux sociaux représentent plus de 5% du trafic mondial sur internet avec ce que partagent les internautes
(vidéos, photos), les métadonnées (géolocalisation de l’utilisateur, profils…), et les publicités. Facebook représente à lui seul l’équivalent de plus de 645millions de kg de CO₂ par an, ce qui équivaut à 645 000 vols Paris-New-York. Vous pouvez :
- Éviter certains réseaux (vous ne pouvez pas être présent partout !) en faisant par exemple une étude de publics pour comprendre quels réseaux sont les plus importants pour votre public ou pour ceux que vous visez.
- Définir une stratégie de présence plus discrète (moins fréquente par exemple) mais plus efficace.
Limiter le recours à l’IA générative ou au moins en discuter :
- Il est difficile d’évaluer l’impact précis de l’IA générative. On estime à l’heure actuelle que Chat GPT utiliserait entre 6 fois et 10 fois plus de ressources qu’une recherche sur un moteur de recherche (pour une requête de 1500 mots). Certaines études estiment même que 10 conversations par jour avec Chat GPT équivalent à 1 tonne eqCO₂ par an ! L’IA générative ouvre des possibilités infinies et il ne faut pas les rejeter en bloc. Mais elle a aussi des impacts sociaux, dont des impacts très forts sur la transformation du travail intellectuel qu’il serait plus qu’utile de discuter en interne. Déterminer une ligne de conduite à adopter au sein de la structure et à assumer publiquement peut être une piste à explorer.
Une recherche sur Internet n’est pas neutre non plus. Une recherche d’une minute sur Internet depuis un PC fixe consommerait100 watts (soit 1,66 Wh). Pour faire des recherches, vous pouvez :
- Aller directement sur le site internet (au lieu de passer par un moteur de recherche) pour diviserpar 4 les émissions de gaz à effet de serre. Pour cela, vous pouvez mettre en favori les sites internet, ou taper directement l’adresse URL. Enregistrer en favori, les sites recherchés régulièrement permet de ne pas laisser de nombreux onglets ouverts en permanence.
- Si vous faites une recherche, vous pouvez aller au plus court, avec une recherche précise avec des mots-clésprécis.
- Utiliser les flèches au niveau de la barre d’adresse (« précédente »/« suivante ») économise le rechargement des pages.
- Bloquer les animations flash sur les pages consultées, gourmandes en énergie (dans les options de votre navigateur).
- Choisir un navigateur plus économe : Chrome serait un des plusgourmands (27 Wh pour 1 000 pages vues) devant Internet Explorer et
- Opter pour des moteurs de recherche de type : Ecosia, Ecogine, Ecosearch, Lilo ou encore YouCare, qui ne collectent pas vos données et reversent une partie de leurs revenus pour soutenir des projets sociaux ou environnementaux (comme la plantation d’arbres pour Ecosia par exemple). En général, vous pouvez préférer l’utilisation d’un moteur de recherche simple recherches plutôt que l’intelligence artificielle.
- Sur Firefox, vous pouvez télécharger Carbonalyser ou Mobilecarbonanalyser, un add-on permet de visualiser la consommation électrique et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à votre navigation internet.
- Télécharger Cloud Carbon Footprint vous permet d’analyser, contrôler et réduire les émissions de carbone de votre cloud.
Nos rendez-vous en visioconférence sont aussi émettrices de GES, mais souvent moins que le déplacement de plusieurs personnes dans un lieu de rendez-vous.
1 an de visio (3h de visio par semaine, 156 heures), c’est environ 2,48 kg CO2e. Parmi les applications qui ont le moins d’impact, on peut citer : Zoho, Teams, Whereby et Zoom et parmi les applications mobiles : Google meet, Tixeo, Teams et BigBlueButton.
Se connecter en wifi plutôt qu’en 4ou 5G
: utiliser le Wi-Fi pour lire et rédiger ses mails, mais surtout pour télécharger les pièces jointes. En effet, il est 20 fois moins consommateur d’énergie que la 4G.
Couper la géolocalisation
Éviter de stocker en masse :
- Il vaut mieux stocker localement que de recourir au cloud (utilisation des datacenters) : le stockage en ligne de ses e-mails, photos, vidéos, musiques et autres documents impose des aller-retours incessants entre le terminal de l’utilisateur et les serveurs. Or, transporter une donnée via Internet consomme deux fois plus d’énergie que de la stocker pendant un an. Il faut donc favoriser au maximum le stockage et l’usage local de ses données.
Utiliser au maximum et dans la mesure du possible, des logiciels libres, comme ceux proposés par Framasoft, qui :
- Sollicitent moins de ressources matérielles (Cpu, mémoire et espace disque)
- Évitent l’obsolescence programmée (reconditionnement d’ordinateurs avec des systèmes d’exploitation de type Linux)
- Favorisent la participation (communautés), les formats libres, la créativité et l’innovation.
- Et en règle générale, supprimer les logiciels inutiles ou faisant office de doublons.
Nos boites mails : 1 an d’emails (100 mails par semaine, 5200 en tout), c’est environ 0,56 kg CO2.
L’empreinte est donc faible et les actions visant à trier nos mails ont en réalité peu d’effet. L’empreinte carbone d’un email simple représenterait une émission de 4 g de CO₂ (vs 0,014 g pour un SMS lambda). Plus il y a de pièces jointes, de destinataires, plus ça pèse : avec une pièce jointe volumineuse, un email produirait jusqu’à 50 g de CO₂. Envoyer une photo de vacances de 1 Mo à dix amis équivaudrait ainsi à parcourir 500 mètres en voiture. Mais en réalité, ce qui est impactant, c’est la multiplication des mails et des personnes qui les envoie : il y a près de 400 milliards de mails reçus dans le monde par jour dont 75% sont des spams et 60% ne sont jamais ouverts ! Tous les e-mails envoyés dans le monde représentent moins de 1 % des émissions du numérique. Et dans l’empreinte carbone des e-mails, le stockage des messages compte pour 0,5 %. Vous pouvez donc :
- Essayer, dans la mesure du possible, d’envoyer le moins de mails : l’impact carbone d’un mail est extrêmement variable en fonction des usages et de la configuration dans laquelle le mail est rédigé par l’émetteur et lu par les destinataires.
- Pensez également à communiquer par SMS : des messages 200 fois moins émetteurs de gaz à effet de serre… Ou oralement, une solution low techet plus conviviale !
- Cibler correctement ses destinataires : éviter de « répondre à tous » et de multiplier les copies par exemple engendre moins de pollution et surtout moins de charge mentale.
- Pour alléger vos mails, vous pouvez :
- Commencer par alléger la signature. Pour les messages externes, choisir une image légère, de quelques ko… ou pas d’image du tout. Pour les communications internes surtout, créer une signature sans logo et minimaliste.
- Éviter les pièces jointes ou les compresser au maximum. Préférer partager des liens BlueFiles, Swisstransfer, WeTransfer ouFile Vert. Pour des documents fréquemment envoyés, on peut les uploader sur un cloud pour partager un lien unique.
- Supprimer l’historique lorsque l’on répond à un mail.
- Choisir par défaut le format texte : il fait parfaitement l’affaire lorsque la mise en forme n’est pas nécessaire (gras ou italique par exemple) et est jusqu’à 12 fois plus légerque le format HTML.
- Réduire le nombre de destinataires.
- Conserver un vieux mail est la phase la moins polluante de nos communications électroniques. Supprimer tous les mails envoyés, pas lus, trop vieux a finalement assez peu d’impact…
Communication en ligne
Faire l’annonce de vos activités et programmations sur les réseaux sociaux qui attirent le plus vos publics cibles.
Choisir des partenaires locaux et qui connaissent l’écoconception des sites Internet. Sinon, les y sensibiliser.
Vous pouvez trouver des recommandations générales de l’écoconception des sites dans la fiche sur l’écoconception de la Boite à Dédé !
Mettre en ligne les documents importants à télécharger
(horaire, brochure, plan d’accès, documents pour la presse, communiqué de presse, etc.) et afficher un QR code pour les spectateur·rices menant au programme en ligne.
Limiter les newsletters
(qui sont de toute façon très peu lues). Mais si une newsletter est envoyée, vous pouvez demander à vos lecteur·rices de la supprimer après lecture et alléger son poids.
Supprimer systématiquement après vos événements les posts sur les réseaux.
Cette action est très souvent oubliée mais nécessaire. On peut se donner par exemple un délais déterminé pour la suppression et conserver une archive pour l’institution.
Sur votre site, vous pouvez donner la possibilité aux visiteurs du site, de ne pas voir les vidéos et photos et en expliquant aussi pourquoi (impact écologique).
Surtout, vous pouvez éviter le démarrage automatique des vidéos.
Quelles que soient les actions réalisées, il est important d’évaluer régulièrement leur efficacité et leur efficience, sous plusieurs angles :
Évaluer les économies réalisées en prolongeant la durée de vie des appareils ou le gain de temps réalisé en supprimant certains usages.
Évaluer les publics touchés par vos communications numériques
: l’efficacité des outils relativement à la fréquentation par exemple (en n’oubliant pas que les deux ne sont pas forcément et directement liés) ;
La satisfaction à l’égard de la communication des équipes et des publics
L’impact environnemental de vos nouvelles pratiques
(gaz à effet de serre mais aussi pollution par exemple) ;
Le budget : les coûts évités ou supplémentaires.
Il est important aussi de communiquer sur vos engagements... sans toutefois tomber dans le greeenwashing !
Communiquer avec vos sponsors, partenaires et prestataires sur votre stratégie environnementale
: chercher le dialogue avec eux/elles, les informer de votre engagement écologique. Pour cela, vous pouvez imprimer les actions que vous aurez choisies dans ce document. Ça vous engage vis-à-vis des publics et des partenaires.
Communiquer avec vos publics en affirmant votre démarche… mais sans toutefois « faire la morale » (ce qui est un exercice d’équilibriste !).
Cette seule information sur vos engagements peut être incitative. Il est possible de communiquer par exemple sur la fabrication des supports numériques grâce à une « déclaration environnementale » (principes d’écoconception, labels…). Par exemple : vous pouvez (devez ?) aussi expliquer pourquoi vous n’êtes plus présent sur certains réseaux ou pourquoi vous avez fait certains choix qui pourraient être questionnants…
Toujours agir avant de communiquer sur les engagements.
Autrement dit, interdisez-vous de communiquer sur les actions avant de les avoir mises en place.
des actions
"A faire"
Je personnalise mon PDF avec mon nom et mon logo (c'est facultatif) :
J'upload mon logo
(taille recommandée : 2 Mb)
Les ressources
Eco-conception web, les 115 bonnes pratiques, Frédéric Bordage, Eyrolles, 2015
Ficelles réduire les impacts environnementaux du numérique, le Collectif des festivals
-
Les Cofees, festivals écoresponsables en région Sud
-
Site de la communication responsable de l’ADEME
-
Fiche pratique Supports de communication responsables du Collectif des Festivals en Bretagne
-
Site « Communication responsable » de l’Association des Agences-Conseils en Communication
-
Guide pour un système d’information éco-responsable de l’ONG WWF
-
L’outil en ligne anti-greenwashing de l’ADEME
-
La plateforme de BeeCom, projet européen sur la communication responsable
-
GreenIT.fr est la communauté́ des acteurs du numérique responsable qui s’intéressent, entre autre, à la sobriété numérique, à l’écoconception des services numériques, à la lowtech, et plus globalement à un avenir numérique alternatif.
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Grénge web encourage une approche durable de l’internet et de l’univers numérique.
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Comment éco-concevoir les supports graphiques ? Quelques pistes dans ce guide d’écoconception graphique.
- EcoIndex vous permet de déterminer l’impact environnemental de votre site web.
Les BA des voisins
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Bliiida Metz : une couturière récupère les banderoles et autres supports de communication produits dans le cadre d’évènements pour en faire des sacs.
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La boite à outils de DD
Ce qui suit est une ébauche d’outils pour vous aider à mettre en place ces actions. Ce ne sont que des propositions indicatives. Si vous en avez les moyens financiers et humains, vous pouvez vous faire aider par des professionnel·les de l’évaluation, des études, etc. Là aussi, tant que faire se peut, privilégier le savoir-faire local !